La dégradation de la note souveraine de la Tunisie peut avoir un impact négatif sur sa sortie sur le marché financier international

La dégradation de la note souveraine de la Tunisie peut avoir un impact négatif sur sa sortie sur le marché financier international

La dégradation de la note souveraine de la Tunisie peut avoir un impact négatif sur sa sortie sur le marché financier international 

La dégradation, mercredi, de la note souveraine de la Tunisie de B1 avec perspective négative à B2 avec perspective stable, peut avoir un impact négatif sur la sortie programmée de la Tunisie sur le marché financier international pour l’émission d’un emprunt obligataire, a déclaré le ministre des finances Ridha Chalghoum.

En marge d’une visite effectuée, jeudi, à Kairouan, Chalghoum a fait remarquer que cette notation, basée sur des chiffres et des indicateurs de l’exercice 2017,  n’a pas tenu compte des réformes économiques et financières, actuellement, en cours de réalisation et auxquelles la Tunisie s’est engagée avec le Fonds Monétaire International (FMI).

Le marché international et les investisseurs ont besoin de ces évaluations qui devraient toutefois tenir compte des objectifs et des réformes sur lesquels la Tunisie travaille, a indiqué le ministre.

Et de souligner que plusieurs pays ayant obtenu la même note de la Tunisie (B2), empruntent sur le marché mondial à des taux d’intérêt acceptables. Le ministre a mis l’accent sur la nécessité d’œuvrer davantage afin de consolider les prémices d’une reprise économique seules à même de garantir une amélioration de la notation du pays.

Moody’s a annoncé, jeudi, dans un communiqué avoir dégradé hier, mercredi la note souveraine de la Tunisie de B1 à B2. La perspective a été changée de négative à stable.

L’agence de notation a également abaissé la note de la dette libellée en devises de la Banque centrale de Tunisie (BCT), de B1 à B2 et a ramené la perspective de négative à stable.

Les principaux moteurs de cette dégradation sont les prévisions de Moody’s, selon lesquelles l’érosion des réserves budgétaires et des réserves de change ne s’inversera pas de manière significative au cours des prochaines années.

La dégradation, mercredi, de la note souveraine de la Tunisie de B1 avec perspective négative à B2 avec perspective stable, peut avoir un impact négatif sur la sortie programmée de la Tunisie sur le marché financier international pour l’émission d’un emprunt obligataire, a déclaré le ministre des finances Ridha Chalghoum.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge d’une visite effectuée, jeudi, à Kairouan, Chalghoum a fait remarquer que cette notation, basée sur des chiffres et des indicateurs de l’exercice 2017,  n’a pas tenu compte des réformes économiques et financières, actuellement, en cours de réalisation et auxquelles la Tunisie s’est engagée avec le Fonds Monétaire International (FMI).

Le marché international et les investisseurs ont besoin de ces évaluations qui devraient toutefois tenir compte des objectifs et des réformes sur lesquels la Tunisie travaille, a indiqué le ministre.

Et de souligner que plusieurs pays ayant obtenu la même note de la Tunisie (B2), empruntent sur le marché mondial à des taux d’intérêt acceptables. Le ministre a mis l’accent sur la nécessité d’œuvrer davantage afin de consolider les prémices d’une reprise économique seules à même de garantir une amélioration de la notation du pays.

Moody’s a annoncé, jeudi, dans un communiqué avoir dégradé hier, mercredi la note souveraine de la Tunisie de B1 à B2. La perspective a été changée de négative à stable.

L’agence de notation a également abaissé la note de la dette libellée en devises de la Banque centrale de Tunisie (BCT), de B1 à B2 et a ramené la perspective de négative à stable.

Les principaux moteurs de cette dégradation sont les prévisions de Moody’s, selon lesquelles l’érosion des réserves budgétaires et des réserves de change ne s’inversera pas de manière significative au cours des prochaines années.

La dégradation, mercredi, de la note souveraine de la Tunisie de B1 avec perspective négative à B2 avec perspective stable, peut avoir un impact négatif sur la sortie programmée de la Tunisie sur le marché financier international pour l’émission d’un emprunt obligataire, a déclaré le ministre des finances Ridha Chalghoum.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge d’une visite effectuée, jeudi, à Kairouan, Chalghoum a fait remarquer que cette notation, basée sur des chiffres et des indicateurs de l’exercice 2017,  n’a pas tenu compte des réformes économiques et financières, actuellement, en cours de réalisation et auxquelles la Tunisie s’est engagée avec le Fonds Monétaire International (FMI).

Le marché international et les investisseurs ont besoin de ces évaluations qui devraient toutefois tenir compte des objectifs et des réformes sur lesquels la Tunisie travaille, a indiqué le ministre.

Et de souligner que plusieurs pays ayant obtenu la même note de la Tunisie (B2), empruntent sur le marché mondial à des taux d’intérêt acceptables. Le ministre a mis l’accent sur la nécessité d’œuvrer davantage afin de consolider les prémices d’une reprise économique seules à même de garantir une amélioration de la notation du pays.

Moody’s a annoncé, jeudi, dans un communiqué avoir dégradé hier, mercredi la note souveraine de la Tunisie de B1 à B2. La perspective a été changée de négative à stable.

L’agence de notation a également abaissé la note de la dette libellée en devises de la Banque centrale de Tunisie (BCT), de B1 à B2 et a ramené la perspective de négative à stable.

Les principaux moteurs de cette dégradation sont les prévisions de Moody’s, selon lesquelles l’érosion des réserves budgétaires et des réserves de change ne s’inversera pas de manière significative au cours des prochaines années. 

vous pourriez aussi aimer

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More

Privacy & Cookies Policy