En outre, des informations et des solutions sur les secteurs de l’agriculture, des industries agro-alimentaires, du tourisme de l’exploitation des ressources et de l’industrie manufacturière ont été présentées à cette occasion.
Selon les explications fournies par Mohamed Hechmi Blouza, président de l’Association internationale des amis du Jérid, le Forum oeuvre à polariser de nouveaux projets au profit de la région, en incitant les investisseurs ayant des projets prêts à être exécutés ou le choix d’une liste de projets réalisables à présenter aux jeunes promoteurs de la région ou d’ailleurs.
Dans ce sens, Mohamed Hechmi Blouza a expliqué que l’Association internationale des amis du Jérid a choisi l’action dans le domaine du développement à travers l’appel des citoyens originaires de la région et résidant à l’étranger à investir dans leur région natale ou à la promouvoir en tant que site prometteur pour accueillir de multiples activités.
Il a, dans ce sens, affirmé que l’Association a pu attirer environ une centaine de petits projets dans l’attente de réalisation ainsi que plusieurs visiteurs national et international pour visiter, conquérir et prospecter la zone. Le Forum a également présenté un ensemble de projets qui proposeraient près de 600 emplois directs et 400 induits
Le programme du Forum comprend, en outre, des activités de loisirs, notamment deux
Plusieurs décisions dans le bilan primaire ont été prises à la Clôture de la 1ère édition du Forum Jerid 2013 ; soit en 1er lieux l’élaboration d’un livre blanc accessible à tous et destiné aux décideurs politiques afin de considérer la contribution de la société civile dans l’effort du développement régional par des réseaux étrangers et nationaux ainsi l’élaboration d’un document portant les fiches projets identifiés dans la région du Jerid lors du forum et ce dans les filières de l’agriculture, du tourisme, de l’exploitation des ressources minérales et la production d’énergie renouvelables…
Par ailleurs Un label doit être crée ainsi qu’une charte graphique et une identité visuelle de la région et promouvoir son image tant en Tunisie qu’à l’étranger afin de faciliter l’exportation des produits de la région et l’investissement.
Et enfin, faire le suivi des projets présentés lors du forum, s’assurer des meilleures conditions de leurs misent en oeuvre et favoriser la création d’un maximum de postes d’emploi directs et induits.
»Il faudrait organiser 24 forums régionaux dans tous les gouvernorats du pays et se prendre en main. L’état ne peut tout faire, la société civile se doit de se mettre en ligne de front pour animer le développement local et régional… » a indiqué Hassan zargouni.