« Cette pratique, touchant notamment l’intégrité physique et psychique des femmes et des filles, ne peut en aucun cas être acceptée et doit être condamnée et totalement interdite », a affirmé, à cette occasion, Mme Sihem Badi, Ministre des Affaires de la Femme et de la Famille.
Elle a insisté sur l’importance des actions de sensibilisation et d’éducation pour parvenir à l’abolition mondiale des mutilations génitales féminines. La ministre a indiqué que cette pratique est inexistante en Tunisie et, totalement, rejetée par le peuple tunisien.
C’était lors d’un évènement parallèle de haut niveau sur la consécration de l’interdiction mondiale des mutilations génitales féminines, tenu en présence de la Première Dame de Burkina Faso, Chantal Compaoré, et de la Directrice Exécutive d’ONU Femmes, Michelle Bachelet.