Suite à des mois d’absence de productivité, de sit-in et de mouvements protestataires, des représentants du gouvernement et de la société civile se sont réunis récemment en vue de trouver les solutions adéquates à la reprise des activités de la société Petrofac dans les plus brefs délais.
De ce fait, un engagement a été pris afin de régulariser la situation professionnelle des employés qui détiennent des diplômes universitaires en leur permettant de signer des contrats officiels avec la société Petrofac.
D’un autre côté, il a été décidé de créer une société de services à l’île de Kerkennah, financée par les sociétés pétrolières de la région en vue de répondre aux besoins des chômeurs de la région, dont notamment ceux qui ne détiennent pas des diplômes universitaires.
Cet accord permet non seulement à reproduire à l’ile de Kerkennah ses activités économiques ainsi que son développement durable mais aussi à la societé Petrofac.
Cette dernière dont ces pertes tournent au de 200 mille dinars quotidiennement dont plus de la moitié est subie par l’État tunisien (actionnaire à raison de 55% dans cette société) se prépare pour démarrer ces grands projets qui on été arrêtés.
A rappeler que la société britannique Petrofac avait même décidé de bloquer tous ses investissements en Tunisie et de préparer son départ devant la passivité de l’Etat Tunisien.